jeudi 11 mars 2010

Jeudi 11 mars 2010





Tomber ou ne pas tomber des nues...
"that is the question !"


Devinez quoi ? Nous avons vu Gilles Duceppe à la télévision espagnole, aux nouvelles, parmi les nombreux clients du restaurant du parlement à Ottawa qui étaient là pour déguster de la viande de phoque...Le fait de mettre du phoque au menu du parlement canadien fait des flammèches ici. ''VAT DE FOK !''... telle est l'expression entendue dans la rue aujourd'hui.



Encore une fois la télé européenne nous a montré des scènes sanglantes d'abattage de blanchons filmées à partir d'un hélicoptère. C'est là que j'ai dit " Moi, je ne suis jamais allée en hélicoptère". Richard m'a répondu : "Cela me donne une idée. On pourrait aller en téléphérique au-dessus du port. Cela te donnerait une petite idée de ce que c'est que de se promener en hélicoptère". C'est ainsi que notre programme de la journée fut établi.


Y aurait-il un lien entre le parlement canadien et le téléphérique ? Avec ces deux-là, on a toujours l'impression d'être au-dessus du vide ?










Sous un ciel absolument maggggggggnifique, le téléphérique a parcouru peut-être un kilomètre au-dessus des marinas et de leurs bateaux, du sable et de sa mer, d'une autoroute et de ses voitures (voir photos)









Dans la cabine, Anglais, Japonais, Français et Québécois se côtoyaient dans un silence religieux, occupés qu'ils étaient à prendre des photos de ce moment magique (voir photo).



Avant de réintégrer le téléphérique pour le retour, nous sommes allés rendre visite à la mer (voir photo).





Richard avait le goût de s'offrir en toute gratuité--une gratuité faite de pureté, d'innocence et de nudité -- à cette mer ensoleillée. J'ai réussi à retenir son élan naturel jusqu'à un certain point. Et c'est le torse nu qu'il s'est présenté devant sa mer (voir photo).





À sa vue, une sirène lui a lancé un appel langoureux l'invitant à aller la rejoindre. Il a su lui résister, et s'est finalement réfugié dans mes bras. OUF !! (voir photo)





C'est là qu'on a vu cette femme-poisson, acceptant mal cette rebuffade de la part de l'être si désirable, si désiré, s'auto-transformer en statue de granit. (voir photo)





Revenus sur la colline de Monjuic, nous avons pris quelques minutes pour nous promener dans un jardin parsemé d'arbres aux formes singulières, avec un tronc qui se répand au sol tel une pieuvre avec ses grosses et grasses tentacules (voir photo).

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